Ici

Ashley et Henry, en voulant s'approprier des informations sur la Cabale, se font avoir par la sécurité du bâtiment. Dispersés chacun dans une salle spéciale, ils subissent tous deux des désagréments. En effet, les scientifiques de la Cabale s'occupent à réaliser des expériences sur Henry, en rapport avec son don, tandis que l'ancienne dirigeante, tente de mettre Ashley en confiance, lui offrant une canette de soda, se révélant être empoisonnée. Sous l'effet du poison, Ashley est dans l'incapacité de se défendre, et la dirigeante profite de cette faiblesse pour l'attacher, dans un laboratoire, où diverses expériences seront effectuées pour la "transformer" en une femme aux capacités de plusieurs phénomènes.

En se rendant à Bombai, Will devient malencontreusement le réceptacle d'un phénomène très connu, la Macri, une Arachné ayant un étrange lien avec Big Berta, un des phénomènes les plus dangereux de ce monde. Mais, au lieu d'entrer en contact direct avec la créature, Will fait la connaissance d'une jeune femme, Cali, qui n'est autre que celle qui dirige Big Berta, intérieurement. Cependant, un homme assoiffé de pouvoir, parvient à la récupérer afin d'en prendre le contrôle. L'homme, s'étant déjà entraîné pour ça, auparavant, parvient à maîtriser les gestes de Big Berta, provoquant un puissant Tsunami, qui prend une ville pour cible. Obligée d'évacuer, la population demeure finalement ravie que la vague ne termine pas son parcours, arrêtée par la force d'un Phénomène inconnu, la détruisant littéralement.

Après son ultime rencontre avec Cali, Will revient parmi les vivants, mais ne se souvient plus de ce qu'il s'est passé. C'est en déjouant l'attaque de Phénomènes, à l'apparence extra-terrestre, qu'Henry, avec l'aide de Tesla, réussi à reprogrammer la machine utilisée par ces phénomènes, en inversant son système. Grâce à cela, Will parvient à se souvenir de la dernière scène, rencontrant pour la deuxième fois, le père d'Helen Magnus, Grégory Magnus, qui lui livre un message codé. C'est grâce à ce code que l'équipe du Sanctuaire fait apparaître une ville immense, de taille réduite, dont ils apprennent efficacement les mystères.

Avec l'aide de Jenkins et Mr.Hyde, Helen et John récupèrent la pièce manquante, la Clé de voûte, permettant de dévoiler la position de souterrains ancestraux, menant à la Terre Creuse, encore inconnue de tous...

Le monde a bien changé depuis que les portes des deux univers se sont refermées. Le retour à la normale semblait possible mais ce n'était sans compter sur une menace dormante depuis des générations qui allait se réveiller.

Des personnes comme vous et moi se cachaient dans un eldorado, celui d'une terre secrète mais elles en avaient marre de rester dans l'ombre, de ne pouvoir profiter de toute cette planète et voyant les humains égoïstes, se faisant du mal. Ils avaient l'intention de remettre de l'ordre et envahir notre monde, commençant à éliminer notre système gouvernemental.

Ayant sauvé le monde d'un anéantissement total entre les deux univers, Olivia s'était retrouvée au coeur même de l'implosion, fermant les deux univers à tout jamais et perdant au passage ses pouvoirs dans cette bataille et même on aurait pu même dire la vie. Cependant, les dons obtenus grâce au Cortexiphan l'ont immédiatement fait revenir d'entre les morts la changeant quelque peu faisant d'elle une guerrière encore plus efficace qu'avant. C'est à son initiative que la section toujours sous la direction de Philip Broyles continue ses enquêtes sans se douter qu'il y avait pire qu'un autre univers comme ennemi.

La menace était encore dormante mais elle n'allait pas tarder à se réveiller faisant de notre monde un terrain de guerre.

Le combat était plus vigoureux que jamais. La guerre entre les deux univers ne serait rien face finalement à la plus grande tentative de contrôle de l'histoire depuis la Seconde Guerre Mondiale.

Le forum a été crée pour parler des groupes de la Korean-Pop mais nous parlons aussi de tout et de rien dans les parties flood .

❝Enfouie dans un des fauteuils inconfortables de la salle commune, Damien Vanderkind se balançait de bas en haut, ses yeux flous rivés vers le sol, comme s’il cherchait à le transpercer avec son regard. Les genoux repliés sur sa poitrine, ses pieds nus posés sur le bord du fauteuil et ses bras posés mollement sur les accoudoirs, il restait ainsi dans cette position inconfortable, attendant on ne sait quoi. Depuis maintenant plus d’une heure, Magenta Brook, demoiselle fluette aux yeux bleus clairs bornés de cernes noires comme la nuit et aux bras griffés jusqu’au sang, l’observait attentivement, droite devant la grande fenêtre laissant passer la faible lumière du soleil en ce jour pluvieux. Elle ne savait que faire. Attendre encore un peu, être sûre ? Ou se lancer, prendre le risque ? Elle s’éloigna finalement de la fenêtre, la démarche chaloupée et attrapa une chaise au passage. Elle continua son chemin, faisant glisser sa chaise derrière elle, cassant ainsi le silence qui régnait dans la pièce. Tous les regards étaient tournés vers elle. Des regards malsains, effrayés, curieux, étonnés, mauvais. Seul Damien continuait de fixer son petit bout de linéum, indifférent au monde extérieur. Magenta fit abstraction de ses camarades cinglés et traversa la pièce, ne quittant pas des yeux l’objet qui retenait son attention depuis plus d’une heure. Elle posa sa chaise en face de l’homme, et tous les regards se détournèrent, chacun reprenant ses activités, comme si rien ne c’était passé. La demoiselle hésita, puis finalement s’assit, ses grands yeux fixant l’individu qui ne leva même pas la tête. La grande horloge de la salle commune sonna. Il était quinze heures. Damien se balançait toujours, le regard de la jeune femme ne le dérangeant nullement. Le temps passa. Magenta ne se décidait pas à parler, et Damien n’avait nullement envie de démarrer la conversation. La blondinette s’arrachait un à un les cheveux, les regardant virevoltés dans les airs avant de se poser doucement sur le sol bleu comme un ciel d’été. Cela l’occupa quelque temps, histoire de repousser le moment où elle devra prendre la parole. Quand elle trouva que le petit tas de cheveux couleur paille était assez grand, elle se pencha vers Damien, tourna la tête à droite, puis à gauche, avant de murmurer :
« Je ne suis pas folle. »
Elle se redressa vivement, apeurée, ses grands yeux bleus regardant Damien, puis la fenêtre, puis ses cheveux en tas par terre, puis encore Damien. Ses petites mains pâles tripotaient nerveusement son tee-shirt gris qui lui tenait guère chaud. L’homme ne sembla pas réagir, prostré dans son silence.
« En fait, si je suis enfermé, c’est que j’en sais trop … »
Magenta ne baissa pas les bras pour autant, tentant de faire réagir le jeune homme, roulé en boule dans son fauteuil. La demoiselle regarda ses bras couverts de croutes et en gratta une, pour s’amuser. Le sang recommença à couler et après avoir savourée le petit morceau de sang sécher qu'elle venait d’arracher, elle se lécha le bras, souriant avec délice au contact du liquide pourpre au goût salé. Son regard ne quittait pas Damien et une fois nourrit, elle reprit
« Moi aussi je sais que certains médecins testent de médicaments sur les patients… »
Damien releva la tête, fixant avec intérêt la jeune fille chétive. Un médecin, au loin fronça les sourcils et griffonna quelque chose sur un carnet qui ne le quittait jamais. Magenta sourit. Elle avait réussi. Elle se pencha vers Damien, l’air mystérieux. Celui-ci n’avait toujours pas ouvert la bouche.
« On m’a enfermé parce que j’ai découvert cela par hasard, en rendant visite à ma mère. Maintenant, on croit que je suis aussi folle qu’elle. »
Elle avait dit cela en appuyant sur son bras gauche pour faire sortir un peu de sang, et lorsqu’une goutte sortit, elle se jeta dessus, tel un vampire. Damien la regardait faire, comme si cela était normal. Elle lui jeta un regard interrogateur et il se crut obliger d’expliquer lui aussi pourquoi il était là :
« J’étais médecin. Mes collègues m’ont proposé de se joindre à eux. Pour faire des expériences. De mauvaises expériences. J’ai dit non. J’ai dit que j’allais tous dire à la police. Alors, ils m’ont enfermé. »
Entre chaque phrase, Damien regardait son petit bout de sol, comme s’il avait peur qu’il disparaisse ou que quelqu’un lui vole. Magenta hocha la tête, faisant bouger sa crinière blonde. Le sang ne la régalant plus, elle avait entreprit de s’arracher la peau autour des ongles et d’en faire un petit tas sur ses genoux, qu’elle mangerait quand il serait plus gros. Damien la regardait faire, détournant son regard parfois pour fixer le sol bleu de la pièce. Finalement, la demoiselle prit la parole, ses petits bouts de peau sur les genoux :
« J’ai un plan. Mais il faudra que tu m’aides. Tu veux bien, dis ? »
Damien parut réfléchir, mais au fond de lui, le choix était déjà fait. Il hocha la tête, en signe qu’acquiescement. Magenta sourit, satisfaite, avala ses morceaux de peau et murmura avant de partir :
« Demain, même heure, même endroit, je t’expliquerais mon plan. »
Quand sa fine silhouette disparue derrière la porte, Damien se replongea dans la contemplation du sol. Le lendemain, personne ne vint le voir près de son fauteuil. Il ne parut pas entonné ni chagriné, comme si c’était un jour normal. Seulement personne n’avait vu Magenta. Elle avait disparue… ❞

Des choses étranges se passent dans l’hôpital, cela ne fait aucun doute. Mais serez-vous d’accord avec eux ? Étaient-ce deux fous un peu trop imaginatifs ? Ou bien deux victimes des médecins sans pitié ? Le doute plane, l’angoisse s’infiltre chez chacun, patients comme médecins, car la disparition ne touche pas que les fous…
Alors, que vous soyez patients ou médecin, venez braver la folie et percer ce mystère.

« Heaven on tourne dans deux minutes ! » La journaliste se tourna vers le cameraman. Ce reportage était très important pour elle et cela allait surement changer radicalement sa carrière, elle le savait très bien et c'est pour cela qu'elle avait pris tous les soins nécessaires pour être parfaite. On lui avait dit qu'elle devait faire un reportage en plein air à Hawaï. Qui ne rêvait pas d'aller là-bas ? Le sujet du reportage était en plus très important et dur, la capital qui est Honolulu avait subi une catastrophe naturelle du nom de Tsunami. La ville était donc maintenant ravagée et on lui avait dit qu'il allait lui falloir du courage pour aboutir ce reportage. Elle s'était documentée sur cette ville et cette capital dont beaucoup rêvait.
« J'arrive, j'arrive ! » Heaven se mettait en place. La caméra faisait les derniers réglages.
« Un. Deux. Trois. C'est partie. » Micro à la main et un grand sourire sur le visage elle déclama d'une voix claire et fluide :

« Bienvenue dans District M. Aujourd'hui nous allons parler d'Hawaï et de la catastrophe qui l'a touché il y a maintenant une semaine. Pour vous Hawaï, c'est quoi ? C'est le soleil et la plage ?» Le cameraman suivait Heaven qui marchait derrière un superbe paysage. « Ou alors peut-être que vous pensez à ces magnifiques paysages. » Heaven montrait des arbres, des fleurs de toutes couleurs. Un paysage qui pourrait faire rêver plus d'une personne.
« Mais connaissez-vous vraiment Hawaï ? Connaissez-vous vraiment notre Hawaï ? Celle qui, malheureusement, a été touchée par un Tsunami. Nous sommes ici pour vous montrer la réalité qui est la nôtre aujourd'hui. » Le cameraman tourna sa caméra dans l'autre sens et un plan complètement différent se dressa devant les spectateurs. La ville côté Ouest, celle qui n'avait pas été touchée, mais on pouvait également voir la ville côté Nord, celle qui avait été touchée et constater le contraste entre les deux.
« Voici donc où en est aujourd'hui Honolulu, capital magnifique avec de nombreux sites classés comme la célèbre plage de Waikiki, son cratère volcanique Diamond Head et n'oublions pas que Honolulu est la ville natale de notre cher président Obama. Évidemment, tout ceci peut en faire rêver plus d'un, mais nous sommes allés visiter la côte Nord de la ville et malheureusement c'est bien différent de ce que l'on peut voir par ici. La plage est infréquentable, recouverte de ruines, des personnes vivent dans les rues et on en passe. » En même temps que la journaliste disait ces mots, des images, de ruines d'anciennes maisons et de bâtiments, défilaient. On voyait des personnes pleurer ou bien assissent par terre les mains tendues pour demander une pièce. Les photos étaient affligeantes.

« Nous allons maintenant interroger deux étudiants. » Heaven se dirigeât vers un jeune homme, lui posa quelques questions et lui tendit le micro.

Josh étudiant fraîchement débarqué : « Bonjour à tous. Je suis arrivé il y a maintenant quatre jours et je suis parfaitement heureux à Honolulu. Il faut dire que j'habite du bon côté de la ville, celle qui n'a pas été touchée par cette vague géante. Ici quasiment tout est intacte et beaucoup de nouveaux riches arrivent pour y vivre. Je ne connais pas bien mon université, mais je sais qu'il y a des bâtiments endommagés. On m'y a très bien accueilli et il y a l'air d'y avoir une sacrée ambiance. Je sais également qu'il y a une forte compétition entre chaque fraternité, mais je n'en sais pas encore plus.»

Céline étudiante en Art : « Malheureusement pour moi je vis dans la mauvaise partie d'Honolulu, sur la côte Nord, celle qui a été la plus touchée. Ma maison a été complètement inondée, mais nous avons eu de la chance car elle est encore debout. Ma fraternité quant à elle n'a pas été touchée, mais il y en a certaines oui, comme les Tri Delta où leur maison a été démolie, maintenant elles doivent vivre chez les Phi Tau. Cela a été un sacré coup pour elles. Je sais aussi que la maison des Alpha Delta Phi a été inondée au rez-de-chaussé et que maintenant la cohabitation est plus dure. En revanche, notre esprit d'équipe est toujours là et il y a toujours une très bonne ambiance car nous continuons tous nos activités sur le campus. C'est toujours la guerre entre les fraternités, mais c'est plutôt drôle, moi ça me plait de devoir en surpasser une autre, mais je n'ai aucun doute, ma fraternité est la meilleure. »

« Voilà, notre reportage sur Honolulu après cette catastrophe est maintenant fini. Pour conclure, la ville et l'université ont encore beaucoup à faire avant de s'en remettre et cela risque de prendre du temps. Mais je pense qu'ils peuvent compter sur leurs citoyens et leurs étudiants qui essayent de tout faire pour retrouver du calme dans leurs lieux respectifs. Merci de nous avoir suivi et on se retrouve bientôt pour de nouvelles informations.»